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La blog d'Alizem

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19 mai 2008

LIBERTÈ ET SPIRITUALITÈ

Privilège spécifique et redoutable, dont bénèficie l'être humain, par rapport aux autres créatures, la liberté est un potentiel inépuisable, qui permet à l'individu de concevoir et de réaliser l'histoire de sa vie et le devenir de son être. Potentiel que l'homme peut exploiter à tout moment de sa vie, dans différents domaines, en fonction de ses aspirations déterminées par sa conception existentielle. En effet, la nature de compréhension du sens de la vie et de ses buts, chez l'être humain, va orienter le genre d'activité à déployer, au nom de sa liberté. Ainsi, la liberté est -elle active, quand elle se traduit, dans le temps, par la recherche d'un but. Elle demeure un pouvoir pur, sans exercice, quand elle ignore sciamment ou non, un champ d'activité. Les domaines d'activité individuelle peuvent revêtir un caractère temporel, purement terrestre, donc limité, ou au contraire, prendre une dimension en dehors du temps. Dans le premier cas, la liberté définit, dans le temps, des fins à atteindre ; dans le second, elle permet à l'homme de réaliser une destinée. Dans l'un comme dans l'autre cas, la liberté est "tour à tour, intelligence et volonté, détachant l'être du réel, pour imaginer le possible et pour l'actualiser, grâce à la valeur qu'est le simple amour, qui l'anime."  Amour "d'avoir, de savoir, de pouvoir", ou amour de la Transcendance et d'autrui. Le premier amour place la liberté au service des acquisitions matérielles, de la science pour en tirer plus de moyens de puissance et de domination, du pouvoir avec comme conséquences, le désordre et l'injustice. Le second amour fait promouvoir l'esprit à une activité spirituelle, où l'idée de fin est projetée en dehors du temps, où toute fin dans le réel, constitue un moyen pour maintenir l'esprit dans sa liberté pure, tout le temps à la recherche d'un idéal, en échappant à l'emprise des suggestions de l'individualité. L'être humain, déployant une avtivité spirituelle, connaît un progrès dont la notion est contraire à celle du monde matériel. Ici, on cherche à multiplier les biens matériels, à dominer la nature par les sciences, et à imposer sa volonté aux autres. Là, il s'agit d'un progrès fait de dépouillement progressif, afin de s'élever en valeurs spirituelles manifestées en actes durant l'existence, ce qui donne son véritable sens à la vie. La liberté est réductrice des valeurs, quand elle sert l'individualité ; elle les sacralise au bien de l'individu et de la collectivité, quand son intelligence et sa volonté sont au service du spirituel.

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20 avril 2008

A PROPOS DES RICHES

Article suscité par la lecture d'une présentation par l'éditeur du livre d'Hervé Kempf :"Comment les riches détruisent la planète." La vision de l'auteur sur le monde actuel, notamment le rôle joué par les riches, fait évoquer en moi,certaines paroles sacrées sur les riches . Ces derniers, en étant croyants, sont d'un apport appréciable à leur socièté et à l'humanité. Leur commerce est dénué de spéculations, d'arnaques, d'illégalités, de profits démesurés. Grâce à leur richesse, ils contribuent à la solidarité consentie avec les pauvres, aux oeuvres louables et à l'essor économique de la cité. Ils refusent l'argent sale, illicite, craignant pour leur capital. Ils s'acquittent des impôts, en plus des prélèvements effectués par eux-mêmes, selon les prescriptions de l'ordre divin. Il serait utile de rappeler ici, les conclusions auxquelles est récemment parvenue une équipe de trois chercheurs ( une Canadienne et deux Américains  ), dans leur recherche scientifique sur l'argent et le bonheur : " l'argent fait le bonheur de ceux qui en dépensent une partie, pour autrui et pour les bonnes actions."

Les riches ont tendance, dans le passé et dans le présent, à ne pas croire aux messages divins, à attribuer l'origine de leur richesse à une science qu'ils détiennent, ou à  un art dont ils maîtrisent la pratique. Leur ignorance peut leur faire croire être invulnérables aux arrêt divins. Ils ne savent pas que leur richesse mal utilisée, peut se retourner contre eux et leurs cités, malgré le sentiment d'auto-satisfaction et de sécurité, qu'elle leur procure. L'aisance est aveuglante, le manque et la pauvreté sont éclairants. Ils dévoilent certaines vérités à l'être humain. La richesse est l'une des grandes sources de désordre et de corruption.     Il est dit: " Si Dieu accordait à profusion des richesses à ses créatures, ils commettraient des exactions sur terre ."  La perversion des riches est à l'origine d'anéantissement de cités. Aucune d'elles ne peut échapper au courroux divin, tombant sous l'effet de l'un des multiples moyens dévastateurs, allant des élèments naturels aux causes humaines. Les riches, semeurs du bien ou du mal, constituent dans le monde actuel, les grands décideurs du sort de l'humanité. Leur mission est très délicate de par le dilemne qu'elle comporte, à savoir, lutter contre le déséquilibre entre les nations, et respecter, en même temps les impératifs du système politico-économique choisi, responsabe de ce déséquilibre. De plus amples informations précises sont livrées par l'un des journalistes d'environnement les plus réputés, hervé Kempf, dans son livre "comment les riches détruisent la planète", présenté par l'éditeur, par ce passage :

"Nous sommes à un moment de l'histoire qui pose un défi radicalement nouveau à l'espèce humaine : pour la première fois, son prodigieux dynamisme se heurte aux limites de la biosphère et met en danger son avenir. Vivre ce moment signifie que nous devons trouver collectivement les moyens d'orienter différemment cette énergie humaine et cette volonté de progrès. C'est un défi magnifique, mais redoutable. Or, une classe dirigeante prédatrice et cupide, gaspillant ses prébendes, mésusant du pouvoir, fait obstacle au changement de cap qui s'impose urgemment. Elle ne porte aucun projet, n'est animée d'aucun idéal, ne délivre aucune parole mobilisatrice. Après avoir triomphé du soviétisme, l'idéologie néolibérale ne sait plus que s'autocélébrer. Presque toutes les sphères de pouvoir et d'influence sont soumises à son pseudo-réalisme, qui prétend que toute alternative est impossible et que la seule voie imaginable est celle qui conduit à accroître toujours plus la richesse. Cette représentation du monde n'est pas seulement sinistre, elle est aveugle. Elle méconnaît la puissance explosive de l'injustice, sous-estime la gravité de l'empoisonnement de la biosphère, promeut l'abaissement des libertés publiques. Elle est indifférente à la dégradation des conditions de vie de la majorité des hommes et des femmes, consent à voir dilapider les chances de survie des générations futures. Pour l'auteur de ces pages incisives et bien informées, on ne résoudra pas la crise écologique sans s'attaquer à la crise sociale concomitante. Elles sont intimement liées. Ce sont aujourd'hui les riches qui menacent la planète. "

23 mars 2008

ARGENT - BONHEUR --- SCIENCE - TEXTES SACRÈS

Des choses et non pas des êtres vivants, l'argent est certainement l'élèment le plus aimé et le plus recherché par l'homme. Il lui permet de satisfaire de nombreux besoins, d'acquérir un rang social et un standind de vie appréciables, et de se permettre des extravagances. Est-ce pour autant, lui assure-t-il le bonheur? Si c'était le cas, les gens pauvres ne pourraient prétendre au bonheur qui, en devenant monnayable comme toute autre marchandise, perd son substrat inestimable. Pour cela, l'adage dit que l'argent ne fait pas le bonheur. Encore faut-il préciser que si on ne peut être heureux en utilisant son argent pour soi, on peut le devenir en le dépensnt pour autrui ou pour de bonnes causes. C'est le résultat auquel est parvenue une équipe scientifique comprenant Elisabeth Dunn, professeur de psychologie à l'université UBC, à Vancouver, et deux chercheurs de la Havard Business School, Laaura Aknin et Michael Norton, après une étude scientifique établie sur trois expériences. Mme Dunn a déclaré: "Nous avons découvert que les gens dépensant leur argent pour d'autres étaient les plus heureux." Elle a soulignée que " La recherche effectuée,démontre la validité scientifique de l'adage selon lequel il est plus satisfaisant de donner que de recevoir." On ne peut s'empêcher de se remémorer certaines paroles des Textes Sacrés : " La main du dessus (celle qui donne) est meilleure que celle du dessous (celle qui reçoit) " , "Vous n'atteindrez la satisfation morale que si vous faites aumône de ce que vous aimez le plus."

Une autre convergence des points de vue scientifiques et religieux, cette fois-ci,sur l'argent,vient s'ajouter aux précèdentes. Il procure à celui qui en dépense une partie pour autrui, le petit bonheur terrestre, indépendamment du grand bonheur céleste promis.

15 mars 2008

A la suite d'un échange de commentaires avec

A la suite d'un échange de commentaires avec l'une des membres du groupe EMI et SPIRITUALITÈ , hors blog collectif , l'idée maîtresse évoquée mérite d'être rapportée ici , puisqu'elle concerne la spiritualité. Saint Jean a dit : " Celui qui écoute ma parole et croit en Celui qui m'a envoyé et à la vie éternelle.....est passé de la mort à la vie ." Aussitôt lue , cette phrase m'a fait rappeler une autre contenue dans Le Coran : "Croyez en Dieu et suivez le Prophète , ainsi, serez-vous vivifiés ,dans votre existence ." Il faudrait comprendre que l'individu , bénèficiant déjà de la vie biologique , peut être vivifié par son esprit , pour la vie éternelle spirituelle , grâce à sa foi . Ici-bas , les deux vies se superposent , avec prééminence de la seconde sur la première . Celle-ci est destinée à la mort ; celle-là est la véritable vie , puisqu'elle est spirituelle et éternelle . Etant convaincu de cela , l'être humain voit disparaître sa crainte de la mort , phénomène également constaté chez les personnes ayant connu un état de mort clinique.

24 février 2008

LA TRANQUILLITÈ

" La tranquillité est le lait de la vieillesse"   ( Thomas  Jefferson )

    Parole venant d'une personne devenue président des Etats-Unis, à l'âge de 58 ans, pour le demeurer pendant 8 ans, ayant traversé auparavant et durant , de multiples péripéties tumultueuses . Parole puisée d'une réalité de la vie, dont la justesse ne peut être saisie que par les individus d'un certain âge. Seule la sénescence permet d'apprécier la tranquillité, à sa juste valeur. A ce stade, l'être humain a accompli son passage de l'étape du parcours du combattant à celle du repos du guerrier, après avoir affronté vents et marées, échappé aux alèas de la santé, surmonté les obstacles professionnels, supporté  les conséquences de discorde familiale. Bref, après tout cela, il aspire à une vie paisible,exempte de tout tracas quel qu'il soit. Afin de minimiser ses soucis et de mettre un terme rapide à ceux qui surgissent, il n'hésite pas à consentir des sacrifices inconcevables du temps de ses forces morales et physiques. Il accepte,dans la plupart des cas, de "payer l'addition" à tort ou à raison, fictive ou démesurée. Il révise son comportement envers lui-même en revoyant à la baisse ses joies et ses plaisirs, envers les membres de sa famille en renoncant à faire des exigences et des sollicitations, tout en admettant plus docilement les leurs. Il n'est plus le lion de céans, craint et obéi ;  il est devenu , à la fois,"mulet et chien "  : il ramène sans cesse des provisions du marché et aboie constamment contre X et Y. Il cherche, à tout prix, à acquérir ce breuvage onèreux et rare, qu'est la tranquillité. Tranquillité de l'âme, de l'esprit et du corps, constitue le trépied sur lequel la personne âgée fonde son petit bonheur de tous les jours. Son plus grand voeu est  de pouvoir  avancer sereinement et furtivement, sans éclats et sans fanfares, sans incidents et sans  accidents, vers son ultime défi , celui de la mort, dont il prend au fil du temps, la mesure apaisante et équitable .                  

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1 février 2008

L'ESPRIT TRADITIONNEL -- L'ESPRIT MODERNE

Les esprits de deux voisins morts, fraîchement enterrés côte à côte, se livrent à une discussion animée,sur leur passé respectif. M- Oh! vous les Traditionnels,on ne peut vous éviter , même au cimetière. T- "Toute la plaine de ... s'est avérée exigue pour l'anier , pour attacher sa bête." Il a fallu que tu viennes à côté de moi. Vous les Modernes, vous ne cessez de nous piètiner sur terre et sous terre. M- Et vous, pour qui vous prenez-vous sur terre? Pour des éternels ? Votre antériorité, vos croyances et vos traditions ont figé l'humanité dans un état rétrograde, durant des millènaires. Il fallu que certains esprits modernes aient osé se libèrer du carcan étouffant les facultés intellectuelles innovatrices des individus, pour que le sort de l'humanité connaisse une percée prodigieuse sur les plans des idées, des sciences et des modes de vie; tout ceci sur une période de quelques siècles. L'univers nous a dévoilé la plupart de ses secrets, la terre est entièrement habitable, et le futur laisse espèrer l'éden sur terre, grâce à la démocratisation libèratrice des peuples, à l'instauration d'une économie fondée sur le libre marché, à l'acquisition de droits sociaux génèralisés, et grâce à un mode de vie plein de bonheur et de jouissance. T- Certes, on doit vous reconnaître deux faits indéniables. Le premier réside en l'accomplissement de toutes vos réalisations en un nombre de siècles n'atteingant pas celui des doigts des deux mains. Le second fait est votre gouvernance du monde grâce à votre puissance. Sous votre régne, les idées philosophiques ont foisonné à tel point que l'idée innovatrice, aussitôt née, doit céder le terrain à une nouvelle, elle-même ébranlée par une autre, avant même son application. Quant à votre science, vous l'avez réduite à votre raison profane occultant tout ce qui la dépasse et ne retenant que ce qui répond à votre pragmatisme. Vous ne vous inquiètez que de l'utile, du comment, sans vous soucier du pourquoi.Votre mode de vie fait penser à une course effrénée, ne se contentant pas du bien-être, elle recherche constamment le mieux-être. Les individus sont aliènés par les multiples dépendances sournoisement imposées et les orientant subtilement vers le culte de la matière. Ainsi, l'esprit humain s'est-il dispensé de son essense , de son discernement et de sa lucidité. M- Vous parlez comme si nous étions responsables de tous les maux sur terre. L'ignorance, la pauvreté, la morbidité, la mortalité ,la terreur et la violence, sont les conséquences de votre léthargie, de votre sous-développement intellectuel et matériel, de votre système de gouvernance. Nous assurons la formation de vos cadres, nous consentons des programmes d'aide économico-sociale en votre faveur, nous accueillons le flux migratoire, nous vous transfèrons la technologie. T- Tout cela est vrai, mais ce n'est qu'un renversement de l'ordre des choses. Il fut une époque où les échanges se faisaient dans le sens inverse. "Un jour pour nous, un jour contre nous." Cela correspond à l'écoulement de cycles qui ont permis, soit la naissance ou renaissance de civilisations, soit le déclin ou la disparition d'autres, conditionnés par l'observance ,ou non, d'un équilibre dont la nature vous échappe. Si l'on tient compte de la périodicité des grands bouleversements survenus durant les deux millènaires écoulés, on peut affirmer que le XXIème siècle serait probablement la fin d'un cycle et le début d'un nouveau.
31 décembre 2007

L ' A N N E E 2008

S'inscrivant dans la première décade du XXIème Siècle, l'année 2008 sera-t-elle marquée par son flot d'évènements bouleversant davantage l'univers et l'humanité , pour faire progresser l'évolution du monde , dans son passage d'un cycle à un nouveau cycle ? Si l'on tient compte des grands bouleversements survenus les deux mille ans écoulés, avec une périodicité de sept siècles, débutant avec la venue de Jésus-Christ et l'apparition du Christianisme , suivi sept cents ans plus tard , de l'Islam , lui-même donnant le relai sept siècles après, à la civilisation judéo-chrétienne , menant la gouvernance planètaire depuis le XIVème Siècle , on est en droit de supposer que la civilisation occidentale ait vécu sa période florissante et qu'elle traverse , depuis cinquante ans environ , une période transitoire marquée par d'importants évènements constituant des signes de régression , et en même temps , des signes précurseurs d'un nouveau cycle. L'année 2008 serait , à priori , une année beaucoup plus négative que positive. La phase transitoire entre le cycle actuel et le futur étant à ses débuts , il est difficile de concevoir une nette amélioration du sort universel, au cours de la nouvelle année. Il est plus plausible que les phénomènes apparus durant la seconde moitié du XXème S, philosophique (individualisme) , politique (démocratisation) , socio-économique (mondialisation , marché libre) et culturel , se poursuivent , tout en suscitant parallèlement, le raffermissement de l'émergence politico-économique d'autres civilisations telles que La Chine , L'Inde...Ce rapport de forces s'étalera sur plusieurs années , pour tendre vers un équilibre et donner espoir plus grand à l'ensemble de l'humanité.

On dit que , parfois , le mal génère le bien.

21 décembre 2007

L' Accueil inaugural dans une enceinte élitiste

Il y a vingt-cinq siècles, un certain maître de la Grèce Antique fonda une école destinée à former des hommes utiles à la socièté. L'accès à l'enseignement se faisait avec rigueur et le régime de vie était contraignant. Lors de la séance inaugurale, le maître questionna plusieurs élèves sur leur origine natale et sur les noms et prescriptions de leurs différentes divinités locales. Il conclut la séance par ces paroles :

   " Si je comprends bien, vos différents dieux vous prescrivent plus ou moins les mêmes choses, à savoir, faire le bien et éviter le mal. Par conséquent, ils doivent avoir un maître qui les initie. Puis il se mit à répèter : l'Unique, l'Unique..."

   Cette école a rayonné à travers les siècles et ne cesse de l'être jusqu'à présent.

Telle est l'introduction d'un blog de groupe visant à regrouper des idéalistes qui, malheureusement à cause d'un impératif imprévu, n'a survécu que quelques jours. Une note suivante fut écrite, sur l'inspiration du moment :

Il arrive parfois à l'individu de se trouver emporté par un élan prometteur, qui ne lui ouvre pas la porte d'accès à l'un de ses idéaux, mais qui le laisse espèrer en lui procurant enthousiasme et joie, grandissant au fil des quelques jours écoulés, avant que ne tombe l'épée de Damoclès. Un impératif imprévu, une maladie d'apparition brusque ou une disparition inattendue, viennent mettre un terme trop prématuré à l'envol. L'élan est brisé, la phase joyeuse est stoppée, l'idéal retourne à la case des rêves et la vie reprend son cours cruel, anéantissant les perspectives ébauchées et neutralisant toute volonté d'envisager une nouvelle expérience. Le mal ressenti a pour remède unique,l'écoulement du temps.

3 décembre 2007

LA COMMUNICATION AVEC LES MORTS

        J'ai lu le livre "Dialogue avec l'au-delà - Editions  J'ai lu A285" de James A. PIKE, évêque épiscopalien de San Francico, mort en 1969 dans le désert de Judée, alors qu'il était sur les traces du Christ. Il développe dans son livre l'idée de la possibilité de communication avec les morts. Suite à la constatation par lui-même, en compagnie de ses secrétaires, de phénomènes de Poltergeist (déplacement d'objets) qu'il attribua à son fils Jim,décèdé par suicide, il comprit que celui-ci voulait communiquer avec lui. Après de nombreuses expériences de médiumnité analysées par sa méthode (Faits+Foi), il conclut être entré en contact avec son fils. A la fin de son ouvrage, il répond à la question qui lui a été souvent posée et que chacun de nous peut poser : "Croyez-vous en une vie personnelle dans l'au-delà?Croyez-vous être entré en contact avec votre fils?" Sa réponse fut :"Puisque vous ne dites pas <savez-vous>, mais <croyez-vous>, je réponds : oui, je le crois!" Dans sa postface du livre, l'auteur rapporte les paroles de Jim,enregistrées sur bande lors d'une séance faite à Londres, dont voici quelques extraits :

".....Je suis si excité par le fait que vous continuez ce que nous avons découvert ensemble. c'est cela le trésor...Je veux vous dire que nous vous aidons et nous vous guidons avec une extême attention, afin que vous ne laissiez pas détourner de l'essentiel par des chosessuperflues...Quand je suis arrivé ici, ils me dirent : Maintenant venez par ici, les diplômes ne vous servirons à rien. Commençons par les choses de base. ET nous avons essayé de découvrir quelles sont les choses qui importent réellement : compassion, charité, aide mutuelle. Oui, ce sont des choes merveilleuses lorsqu'on les met en pratique...Je découvre, papa, que je pourreis accéder à une philosophie que la religion n'a pas su m'enseigner..."

    En réponse  à la question que le père posa : << As-tu entendu parler de Jésus?>>, le fils répondit :

" Je vous l'ai déjà dit. C'est difficile, j'ai peur de blesser vos sentiments. J'ai questionné mes maîtres et ils m'ondit : << Jim, vous n'êtes pas en mesur de comprendre, pas encore.>> Je ne l'ai pas rencontré. Ils parlent de lui comme d'un mystique, d'un voyant. Oh ! papa, ils ne parlent pas de lui comme d'un sauveur, mais comme d'un exemple à suivre, voyez-vous?...Ce qui compte, c'est l'exemple qu'il a donné. Mais il vaut mieux savoir que tout le monde ne va pas nous aimer. Je vais vous dire une chose : aussitôt que vous commencez à rayonner une lumière vers les autres et à leur montrer la vérité, les puissances des ténèbres se liguent; elles drient :<<Eteignez la lumière, éteignez.>> C'est ce qu'ils ont fait pour John Kennedy, pour son frère Bob et pour le pasteur Luther King. Ils ont éteint ces flambeaux mais leur cause ne mourra pas, elle progressera...Quelle épreuve de mourir avant de connaître la vérité, n'est-ce pas ? Ici je ne manque de rien, c'est un monde merveilleux; Je n'ai plus besoin de rien ...Ne croyez pas que Dieu puisse être personnalisé. Il est la force centrale et vous, vous apportez votre effort personnel, êtes-vous d'accord avec moi, papa ?... Je voudrais tellement vous faire comprendre que je vis dans un monde d'amour et d'harmonie, un monde rempli de musique, de couleur et de poésie. Nous sommes remplis de gratitude pour cette qualité et cette harmonie. Nous voulons rendre à la force centrale un peu de l'amour qu'elle a développé en nous et que nous ne pensions pas être capables d'éprouver..."

26 novembre 2007

L A D E T T E I M P A Y E E

Contracter une dette, c'est prendre un engagement qui, non tenu, peut procurer des désagrèments à l'intéressé. Indépendamment des poursuites judiciaires et autres, courues par la personne endettée, celle-ci s'exposerait à d'autres risques, après sa mort. Il est une tradition islamique qui incite à honorer toute dette, notammentd dans certaines conditions, comme un état morbide ou une absence prolongée. Tout prétendant au pélerinage aux Lieux Saints de l'Islam, est moralement tenu de s'acquitter de ses dettes, avant d'entreprendre le voyage, qui s'étalait sur plusieurs mois avant l'apparition des moyens rapides de déplacement. Actuellement, il dure un mois environ. Quelle fut extravagante ma surprise sur le sujet, quand j'avais lu une anecdote rapportée par Camille Flammarion (Après la mort.Editions J'ai lu A311) et citée par Alain Sotto/Varinia Oberto (Au delà de la mort-Nouvelles recherches parapsychiques. Editions J'ai lu A368). L'anecdote relate l'évènement vécu par l'évêque d'Alger Mgr Pavis qui, un soir, lisant tranquillement son journal, vit apparaître devant lui un de ses paroissiens, décèdé quelque temps plus tôt. Il l'entendit prononcer ces paroles : "Vous qui m'avez aimé, secourez-moi! J'ai laissé une dette impayée, acquittez-la, afin que je cesse de souffrir." Puis il précisa le nom et l'adresse du créancier; ce que fit l'évêque dès le lendemain. Fait étrange, surtout quand on le lie à la Tradtion qui met l'accent sur la gravité du sort du mourant, pour dette impayée.
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